Vous avez bien lu. Aujourd'hui, nous allons dénoncer les pratiques manipulatrices du CRDN.
Le CRDN, lieu d'apparence insignifiante, est bien évidemment un lieu où tout le monde est déjà allé travailler. Et il est bien là, le premier problème. Au lieu de profiter de notre vie étudiante en discutant avec nos camarades, l'administration va essayer de nous faire travailler, réviser un maximum. Tout ça pour quoi ? Pour des "crédits", ces fameux crédits ECTS... (qui ne sont, au passage, qu'une drogue, une valeur virtuelle à laquelle ils nous rendent accro : certains en viennent même à remplacer leur temps libre par des activités additionnelles (UE sport, théâtre, week-ends FH...) pour grapiller quelques petits crédits bonus !).
La stratégie de l'admin est très fourbe. Vous marchez dans les couloirs, vous voyez les élèves travaillant à travers les vitres qui donnent directement sur les salles de travail (comme par hasard, c'est une des seules salles qu'on peut voir de l'extérieur...). Suite à cela, vous culpabilisez de ne pas être en train de réviser pour vos prochains partiels. Puis vous les rejoignez pour travailler.
D'ailleurs, regardez bien où est placé le CRDN. Juste à côté du Worko. Histoire de vous pousser à consommer votre tasse de café et à vous donner l'impression d'avoir l'énergie suffisante pour vous remettre à la tâche.
Vous voulez la preuve qu'on vous flique ? Il y a toujours quelqu'un à l'entrée du CRDN, à vérifier que vous ne fassiez pas trop de bruit. Il ne faudrait pas que vous vous amusiez non plus !
Le clou du spectacle ? Les poufs et les matelas à gauche. De quoi vous faire dormir sur votre lieu de travail. Dans quel monde vit-on pour que les étudiants soient si épuisés mentalement qu'ils doivent dormir sur leur lieu d'étude ?
Alors voilà, le CRDN n'est qu'une arme utilisée par l'admin pour nous embrigader, nous forcer à travailler. Mais heureusement, le Télécomplot est là pour vous avertir.
Alors, la prochaine fois que vous irez au CRDN, pensez à cet article. Vous me remercierez plus tard.
Bien évidemment, ceci est une vaste blague et on espère que personne ne sera offusqué de cette petite blagounette. Geronimo